Published On: 15 novembre 2019

Après deux classiques de la saison de sable disputées dans le nord, le championnat de France des Sables s’envole ce week-end pour le sud du pays. Première étape de ce périple : Magescq, un nouveau venu sur le CFS qui accueillera ce week-end plus de 700 concurrents. Parmi eux, Daymond Martens espère bien confirmer à Magescq sa montée en puissance au guidon de la KTM du team Motoland.

« Je me sens bien sur la moto, de mieux en mieux même. Mon équipe fait le maximum pour que tout soit comme je le veux, on fait vraiment du bon travail ensemble », se réjouit Daymond Martens. « Sur l’épreuve d’ouverture de la saison à Berck, j’ai pu d’emblée prouver que j’ai bien la vitesse nécessaire au guidon de la KTM que je découvrait pourtant à peine en remportant une manche. Mais il y a eu là-bas du bon et du moins bon. La finale ne s’est pas déroulée comme je le voulais. Je suis resté bloqué et j’ai perdu pas mal de temps. Sur un sprint comme le Beach-Cross, je ne pouvais pas dans ces conditions espérer un bon résultat. »

Un résultat mitigé pour entamer la saison qui fut heureusement vite oublié avec, dès la semaine suivante, une encourageante sixième place sur la Ronde des Sables à Loon. « A Loon, sur une course dans un format plus classique pour le championnat, j’ai signé une belle première heure de course. Mais j’ai ensuite perdu pas mal de temps lors du premier ravitaillement, ce qui m’a fait perdre le contact avec le top-5. Mais j’avais a priori la vitesse pour y entrer, c’est donc encourageant », poursuit l’ancien vainqueur de l’Enduropale du Touquet.

« Depuis Loon, on a fait pas mal de développement sur la moto avec le team », ajoute Martens. « On a essayé beaucoup de nouvelles pièces. On avance certainement dans la bonne direction ! »